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The Silent Words

18 juillet 2013

Chapitre 1

          Assis dans le canapé, une tasse de thé fumant dans une main, les deux hommes regardaient l’écran de télévision animé, confortablement installés. La camomille dégageait un léger parfum, embaumant le salon seulement éclairé par le feu de la cheminée. Les flammes crépitaient dans l’âtre, lapant les parois du foyer telles de tendres caresses réchauffant l’atmosphère.  La flambée semblait danser, comme en transe laissant échapper de légers grésillements provenant des braises tombant en cendres.

La maison était calme et silencieuse, uniquement dérangée par le son de la télévision où défilait un programme policier. Les volets avaient été fermés quelques minutes plus tôt et la table débarrassée des derniers restes du repas de la soirée. Au dehors, une chouette ululait à intervalle régulier dans la pénombre de la nuit tombante. Il n’y avait pas âme qui vive à moins d’un kilomètre à la ronde. Perdu dans la campagne au milieu des champs de blé, la maison profitait de l’air frais et revigorant ainsi que du calme que la ville dispensait.

La propriété était constituée de plusieurs bâtiments et éléments comme la maison principale, un garage, une grange, un jardin ainsi qu’un puis qui ne servait plus que pour la décoration des extérieurs. Cela faisait plusieurs années que le couple s’était installé dans cette demeure isolée de tout souhaitant respirer un air plus pur que celui urbain et pollué.

Maël avait achevé ses études d’architecte et travaillait depuis deux ans à son compte après avoir passé une année au chômage sans rien trouvé. Son compagnon, lui, serveur dans un restaurant depuis trois ans. Après avoir terminé ses classes dans le travail ouvrier, il avait finalement bifurqué vers la restauration. Plus âgé que Maël, ils s’étaient rencontrés sur son lieu de travail où l’architecte avait été assigné à un projet.

 

                Côte à côte sur le sofa, un plaid moelleux couvrant leurs jambes, le couple aimait passer des soirées telles que celle-ci, comme deux petits vieux. Ils appréciaient le fait de se retrouver après une dure journée de labeur, rien que tous les deux, comme seuls au monde.

Maël caressait distraitement la cuisse de  conjoint, absorbé par l’intrigue de la série qu’ils visionnaient. Le tueur allait bientôt être démasqué. Il se sentait bien, complet, en présence de son concubin. Il ne se sentait jamais mieux dans la journée que lorsqu’il le retrouvait le soir et qu’il l’embrassait passionnément. Cela ferait bientôt six ans qu’ils s’étaient mis ensemble et chaque jour qu’ils vivaient était comme le premier de leur histoire.

Il se rappelait de chaque moment, chaque baiser, chaque étreinte qu’ils avaient pu partager. Cette maison, c’était comme leur petit coin de paradis à eux. Personne ne pouvait les juger, les importuner ou les observer. C’était leur petit havre de paix.

-          Veux-tu un verre de vin avant qu’on aille se coucher ? Proposa-t-il alors que l’épisode venait de s’achever par l’arrestation du meurtrier.

-          Oui je veux bien chéri. Rétorqua son homologue d’une voix discrète et suave.

 

Maël se leva du canapé lourdement, les jambes engourdies, repliant sa partie du plaid sur les jambes de son partenaire en lui offrant un léger sourire. La fatigue commençait à se faire ressentir sur son visage où de petites cernes avaient trouvé leur place sous ses yeux noisette. Déposant un tendre baiser sur le front de son voisin, il s’en alla ensuite vers la cuisine plongée dans le noir chercher une bouteille de vin australien. Cela faisait partie de leur rituel vespéral. Après avoir dîné, ils prenaient une bonne tasse de thé à la camomille devant la télévision et parfois suivi d’un léger verre de vin, grisant leur soirée silencieuse.

Actionnant l’interrupteur de la cuisine, il se dirigea à pas feutrés vers le casier à bouteille entreposé sur le plan de travail à côté de réfrigérateur. Il vérifia que l’étiquette indiquait bien la provenance de l’alcool et s’apprêta à repartir vers le séjour lorsqu’il remarqua que la porte qui menait à la cave sous la maison était entrouverte. Il s’avançait pour la refermer correctement lorsqu’il vit de la lumière qui provenait de la petite salle.

Se demandant ce qu’avait bien pu y fabriquer son compagnon, puisque lui n’y allait que rarement voire quasiment jamais, il décida de descendre pour voir si tout était bien en ordre. Il n’était stocké à la cave que de vieux cartons qui renfermaient des objets et des babioles qu’ils n’avaient pas pu caser dans les pièces de leur demeure, des outils de bricolage et d’autres choses dont ils n’avaient pas ou plus l’utilité. Il voyait déjà l’épaisse couche de poussière qui les recouvrirait et les multiples toiles d’araignée qui auraient élu domicile un peu partout dans la pièce.

Maël descendit les quelques marches carrelées, se tenant à la rampe d’une main, l’autre enserrant toujours la bouteille de vin. Il n’aimait pas trop entrer dans ce genre d’endroit, tout comme les greniers dont il avait une sainte horreur. Quelque peu claustrophobe, il ne s’y sentait jamais à l’aise. Etonnement, pour une cave, la lumière était vive et claire comme le jour et une odeur de désinfectant ou de produit ménager vous prenait aux narines dès votre entrée dans la salle.

Ce ne fut seulement après avoir jeté un œil aux étagères en bois et aux quatre coins de la pièce que Maël posa son regard sur le sol. Pendant une fraction de seconde son cœur s’arrêta de battre. Sa gorge devint sèche, son souffle erratique et court. Incapable de détourner son regard de la scène qui s’offrait à lui, inconsciemment il lâcha la bouteille de vin qu’il tenait dans sa main et qui alla s’écraser en mille morceaux sur le carrelage. Le liquide bordeaux se mêla à un autre liquide plus visqueux qui maculait le sol.

Tremblant de toutes parts, ses jambes le supportant à peine, une bile amère remontait le long de sa gorge, menaçant de l’achever. Une sueur froide coulait sournoisement le long de sa colonne vertébrale lui donnant une impression de malaise. De petites perles de transpiration s’étaient déposées sur son front, glissant le long de son visage blafard. Maël avait perdu toutes couleurs. Blanc comme un linge, il fixait sans pouvoir sans détacher l’atroce image qui s’offrait à lui.

L’horreur s’était emparé de son corps à deux doigts de tomber. Cela ne pouvait pas être réel, il devait certainement être dans son lit douillet, aux côtés de son amant qui le réveillerait très bientôt en se rendant compte qu’il cauchemardait. Son amant…

Maël n’avait pas entendu la porte d’en haut s’ouvrir doucement ni les pas silencieux qui avaient descendu les marches à leur tour. Il ne s’était pas rendu compte de la respiration calme et chaude dans sa nuque, de la proximité d’un corps brulant dans son dos. Il n’avait pas senti l’atmosphère se charger d’excitation et de danger dû à l’arrivée imminente de…

-          Tu ne devrais pas être ici chéri…

 

--

                L’inspecteur Harris était affalé sur sa chaise en mousse, les bras ballant le long de son corps, sa tête jetée en arrière sur le dossier. Pressant l’arrête de son nez dans un ultime signe de fatigue, il se releva douloureusement, son dos courbaturé lui faisant un mal de chien. La cinquantaine le menaçait et semblait courir vers lui comme jamais. Il détestait cette année où il allait prendre une décennie de plus et où il se rapprocherait un peu plus du mot « retraite ». Harris aimait son travail. Il se dévouait corps et âme à la moindre enquête qui lui était assignée. Il menait de front les investigations, les interrogatoires et les courses poursuites. Grisonnant et légèrement bedonnant, l’inspecteur passait le plus clair de son temps au poste de police. Divorcé sans enfants, il pouvait consacrer entièrement sa vie à son travail, passant même des nuits entières au bureau.

Devant lui avait été dressé un triste tableau où s’étalaient de multiples photographies macabres. Cela faisait exactement deux semaines qu’ils avaient trouvé les corps dans la fosse. Un groupe de chasseurs avait fait l’horrible découverte au fin fond de la forêt nationale de Coronado. De multiples cadavres avaient été jetés dans l’excavation boueuse. Harris ne savait même pas si on pouvait parler de « cadavres ». Pour la plupart ce n’était plus que des os amassés ou des bouts de corps et de chair dont le tueur n’avait pas voulu.

Il avait fallu plusieurs médecins légistes pour estimer le nombre de victimes qu’il y avait eu. Et le chiffre n’était encore qu’approximatif à ce stade de l’enquête. Une soixantaine. Les médias s’étaient régalés de cette information macabre. La découverte avait fait le tour du pays en même pas quelques jours, révélant un tueur fou qui rodait en Arizona. « La Fosse aux Soixante » était le surnom que les journalistes avaient attribué à la forêt.

Les restes humains en décomposition avaient été pour la plupart rongés par les vers et les divers insectes qui peuplaient l’environnement boisé. Seuls les plus récents avaient été retrouvés pratiquement intacts. Lorsque les chasseurs avaient découvert la fosse, le tueur en série – parce que l’on pouvait bel et bien parler de tueur ou des tueurs en série- opérait encore dans la forêt. Le site avait été mis sous surveillance dans l’espoir que l’homme ne revienne sur les lieux rejeter une énième victime. Mais la découverte avait fait si rapidement le tour des médias qu’il était presque désespéré de s’attendre à un signe de la providence.

Le profil psychologique avait été dressé en quelques heures par les agents du FBI qui travaillaient en collaboration avec les officiers du commissariat. Un homme, de race blanche, compulsif, n’obéissant qu’à ses pulsions, à son désir. Il se moquait de laisser des preuves derrière lui et c’était son instinct animal de tueur qui le guidait et non la raison. Il avait dû tuer bien avant les soixante victimes retrouvées, faire des essais, des recherches où entreposer les corps ou les bouts de corps. C’était maintenant un habitué, la routine était son quotidien. Il passait certainement pour Monsieur Tout Le Monde dans la rue. Eventuellement la trentaine voire la quarantaine mais pas plus. Minutieux mais pas expert, les découpes sont imprécises et précipitées.

Le mot « cannibale » avait été plusieurs fois prononcé dans le rapport préliminaire mais les autopsies n’avaient pas encore confirmé une quelconque pratique de ce genre.

Harris fixait le tableau, une tasse de café brûlant dans une main, un stylo dans l’autre tapant nerveusement sur le bois de son bureau. L’enquête piétinait. Ils avaient du mal à avancer, ne disposant que de très peu d’indices. Des hommes blancs ayant la trentaine, ce n’était pas cela qui manquait dans la région…

 

--

Maël avait brusquement sursauté en entendant la voix posée de son compagnon. Il s’était vivement retourné, le regard hagard, les lèvres tremblantes de peur, le visage horrifié. Il n’avait pas encore assimilé les précédentes paroles de son ami ni le ton calme mais teinté de menace qu’il avait employé.

- Chéri, il faut partir d’ici, prévenir la police… Avait balbutié Maël recherchant un peu de réconfort dans le regard froid de son partenaire.

- Et pourquoi voudrais-tu partir et prévenir les poulets ? Avait-il alors répliqué sans une once de peur dans sa voix si calme et suave, presque charmeuse, dans un chuchotis.

-Mais, enfin…

Quelque chose clochait. Maël le savait mais son esprit embrouillé refusait de réfléchir rationnellement. Choqué par la présence du cadavre ensanglanté dans son dos, il observait l’homme en face de lui sans vraiment comprendre son comportement.

-Tu as découvert mes petites expériences, mon pêché mignon Maël…

Ces derniers mots firent l’effet d’un électrochoc. Maël recula de quelques pas, marchant dans le vin et sur les tessons de bouteille. Il refusait de croire ces dernières paroles, de voir cette expression si calme et dénuée d’émotions sur le visage de l’homme qu’il aimait depuis tant d’années. Ses yeux se remplissaient de larmes alors qu’il murmurait des paroles inintelligibles, des supplications, priant pour que ce fusse une farce de très mauvais goût de la part de son compagnon.

-Si c’est possible mon cœur. Anticipa-t-il attrapant quelques bribes de mots qui s’échappaient de la bouche de Maël.

L’horreur de la chose n’en était que plus grande. Maël avait complètement oublié le cadavre sanguinolent et mutilé derrière lui, obnubilé par la révélation qui venait d’être faite. Il faisait soudainement très froid dans la cave insonorisée, comme si la mort avait pris possession des lieux, était ancrée au plus profond des parois murales. Une série de frisson secoua le corps du brun, atterré, il observa son ami le contourner et se rendre auprès du corps laisser sans vie, gisant sur le sol froid et dure.

-James… Supplia Maël à l’encontre de son concubin dans une voix étranglée.

Ledit James retourna la victime d’un coup de pied dans les côtes, laissant apparaître un visage tuméfié et recouvert de cheveux rougis par le sang. Un hoquet de stupeur s’échappa de la bouche de Maël lorsqu’il vit l’abdomen ouvert du jeune homme, vidé de ses entrailles et qui laissait suinter une odeur fétide et putride. Le ventre éviscéré faisait apparaître l’intérieur du corps en décomposition.

-J’ai dû changé mes plans lorsque la police à découvert ma cachette. J’avais l’habitude de faire ma petite affaire dans un hangar derrière la forêt Coronado puis quand j’avais fini, je les jetais dans une fosse.  Narra froidement James caressant tendrement le visage de la victime, écartant les quelques mèches de cheveux qui le barraient. Je suis de service le soir trois fois par semaine. Le lundi, je repère, le mercredi je prends ma victime et le samedi quand je reviens à la maison le soir, je la mange.

James avait dépeint son mode opératoire le plus simplement du monde, comme si c’était, pour lui, une pratique tout à fait normale et anodine. L’auteur de tous les crimes atroces présentés par les médias ses derniers jours était juste devant lui et il vivait avec depuis plus de six ans. Il dormait avec lui, il mangeait avec lui, ils se douchaient parfois ensemble, ils avaient une réelle intimité et jamais il ne s’était rendu compte de quoique ce soit.

Vacillant dangereusement, Maël se rattrapa à une étagère branlante à côté de lui, le cœur au bord des lèvres. Posant sa tête sur sa main qui s’agrippait au bois et qui le maintenait debout, il fit tomber sans le faire exprès un bocal qui explosa sur le pavé frais. Il s’en échappa un liquide transparent qui révéla un cœur mou qui roula jusqu’aux pieds de James qui affichait un sourire sardonique.

-D’après toi Maël, les jolis petits plats de viandes que je te mijote le week-end, ils viennent d’où ?

Ce fut la phrase de trop. Les jambes du plus jeune cédèrent sous son poids, s’écroulant à terre dans la marre de sang mêlé au vin, il eut juste le temps d’apercevoir James s’emparer du palpitant sans vie et de croquer dedans à pleine dents, gémissant de plaisir. Sa vue se brouilla ensuite, devenant complètement noire, ses idées plus très claires s’emmêlaient, puis plus rien. Le noir complet, le plus total.  

 

 

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18 juillet 2013

Prologue

On pense toujours que ce genre de chose n’arrive qu’aux autres. Que ce sont pour les autres ce genre de merdes qui nous tombent dessus sans prévenir. J’étais une de ses personnes qui pensaient cela. Jusqu’à ce que ça me tombe dessus, sans crier gare. Dans des moments pareils, où la peur prend le dessus, où elle vous glace le sang jusqu’à la moelle, où tout autour de vous n’est que danger, l’instinct de survie est là. Il est bien présent, tapi au fond de vos tripes, prêt à surgir a moment opportun. Vous tentez absolument tout pour grappiller quelques secondes de vie en plus, quelques souffles  à voler à la mort, quelques battements de cœur, jusqu’à ce que la lumière s’éteigne pour toujours.

J’étais là, agenouillé sur le macadam devant la masse informe allongée et désarticulée, vidée de toute vie. Les mains tremblantes et souillées de sang, ce liquide visqueux et rougeâtre qui maculait la pièce de long en large et en travers. Même dans les ténèbres de la pièce, je pouvais le voir, imaginer chaque tâche, chaque goutte de sang qui avait fusé sur les murs. J’entendais encore les hurlements déchirant, les craquements sonores des os qui se brisaient sous l’étau de forces cruelles et sadiques. Chaque regard empli de désespoir, d’appel à l’aide était marqué au fer rouge dans ma mémoire et me hanterait pour le restant de mes jours.

Quel numéro portait le cadavre que je déchiquetais petit à petit ? J’avais arrêté de compter à partir du moment où cela était devenu une habitude, une routine, où l’horreur de la chose ne m’atteignait même plus. Une main posée sur le torse de la victime, l’autre tenant le couteau de boucher et moi en train d’extirper les différents organes putrides. J’effectuais mon dur labeur, la sueur coulant ardemment sur mon front et entachant le corps sans vie, se mêlant au liquide visqueux formant une flaque autour de la dépouille et imprégnant mes vêtements.

James n’allait pas tarder, il fallait faire vite, il fallait que tout soit prêt à son retour. Il fallait que lorsqu’il descendrait les marches, lorsque le bois craquerait sous ses pas lourds, tout soit préparé comme il le souhaitait, comme il m’avait appris à faire depuis de nombreuses semaines. Le geste devenu sur, je retirai enfin l’organe vital que je devais à tout prix conserver. Précautionneusement, je le pris entre mes doigts glissant et le déposais délicatement dans la glacière avant de refermer le couvercle d’un coup sec.

J’entendis la porte d’entrée claquer à l’étage et sus qu’il était rentré du travail, arasé par sa journée. Une série de frissons incontrôlables parcourut mon corps, se faufilant entre mes côtes, remontant le long de ma colonne vertébrale.  Le véritable cauchemar pouvait à nouveau recommencer maintenant.

 

 

 

Je suis un survivant. Un survivant de la cruauté de l’humanité, du paroxysme du mal, de la violence humaine à l’état pur. Je sais parfaitement que je ne ressortirai pas indemne de cette expérience. La vie ne tient qu’à un fil, on ferait n’importe quoi pour la préserver encore un peu. Confronté à la mort, l’avoir en face de soi, nous fait réaliser tout ce qu’on a raté dans sa minable vie, tout ce qu’on aurait fait ou pu faire, tout ce que l’on regrette. En un instant on voit défiler devant ses yeux toutes les erreurs du passé, tous les évènements qu’on a loupé et tout ce qu’on n’a pas pris le temps d’accomplir.

 

INSANE.

18 juillet 2013

Avertissement

Avant que vous ne vous lanciez dans la lecture de cette histoire, je me dois de vous avertir de certaines choses. Cette fiction est violente ! Macabre, horreur, angoisse et cannibalisme sont au rendez-vous. Je vous considère comme avertis alors ne venez pas me dire à la fin que ça vous a fait gerber...

 

Les âmes sensibles qui souhaiteraient éventuellement passer dans le coin et lire, tant pis pour vous :P

 

Cordialement et en vous souhaitant une bonne lecture au pays des cauchemars...

 

Pomme Cannelle (ensanglantée)

18 juillet 2013

Présentation

Je me présente : Pomme Cannelle, 19 ans, étudiante en sociologie et écrivaine à ses heures perdues. Je posterai ici mes petites histoires, plus ou moins longues, plus ou moins courtes. Je n'ai pas la prétention d'être une grande auteure, j'écris pour moi-même, pour m'évader et laisser libre cours à mon imagination.

Mes histoires ne sont pas toujours roses, je dois vous prévenir. Notamment Insane qui est assez violente psychologiquement parlant. Vous allez sûrement me prendre une dégénérée mentale s'il vous prend l'envie de la lire. Pour les autres écrits, ils sont... spéciaux : suicide, dépression, meurtre, haine. Voilà le topo !

J'écris depuis de nombreuses années (8 ans maintenant, oui j'avais 11 ans quand j'ai commencé, je me fais vieille :(...) donc mon écriture a forcément évolué.

Je ne vois pas quoi rajouter de plus, je n'aime pas trop en faire des tonnes alors je vais vous laisser vous plonger dans mes écrits en vous souhaitant une bonne lecture. Et n'oubliez pas les reviews, ça fait toujours plaisir =)

Cordialement ;

Pomme Cannelle.

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